Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (38) : Notre Pacte Candauliste.

A la reprise de notre vie commune, Philippe et moi avons passé un « nouveau pacte candauliste » car il ne pouvait être question, ni pour moi, ni pour lui, que nous devenions un couple « ordinaire ».
C’est de certains épisodes marquants de ce nouveau pacte candauliste dont je vais parler dans les prochains textes.

UN NOUVEAU PACTE CANDAULISTE

Nous avions donc repris, Philippe et moi, notre vie commune. Nous n’avions renoncé à rien, pas plus lui à son candaulisme que moi à mon hypersexualité.
Nous étions seulement fermement résolus à maîtriser nos fantasmes et à respecter certaines règles et ne plus retomber dans les dérives du passé, du temps où nous étions sous la coupe de Rachid.

Nous devions d’abord adopter un comportement plus prudent pour protéger notre famille, parce que nous étions devenus parents de trois s, trois magnifiques petites filles : Lucie, née en 2009, Leila, née en 2011 (dont le père est Hassan, qui assume parfaitement ses responsabilités) et notre dernière, Sofia, que j’avais eu le bonheur d’offrir à Philippe fin 2013. Un quatrième , un fils, Alexandre, est récemment venu agrandir notre famille.
Notre réputation étant complétement ruinée dans la ville où nous avions vécu jusque-là, nous avons changé de région, choisissant une grande agglomération où il est plus facile d’être anonymes, y compris dans la fréquentation des milieux libertins. C’est aussi l’époque où nous avons fermé définitivement le blog hébergé sur Erog, où nous nous étions beaucoup trop exposés. Enfin Philippe avait également changé de travail et repris le déroulement de carrière que nos frasques avaient gravement compromis.
Il n’était pas question pour nous, je l’ai dit, de brider notre nature. Malgré la métamorphose de Philippe, qui était devenu un amant honorable, ce qui avait contribué à ma «reconquête» au détriment d’Hassan, Philippe savait que je ne pouvais me contenter de lui. Et par ailleurs, lui non plus ne renonçait pas à son candaulisme.

Il savait que j’étais la femme qu’il lui fallait pour pouvoir assumer pleinement son fantasme.
En plus de la discrétion, nous étions convenus de ne rien nous cacher, mais d’éviter tout ce qui pourrait menacer la pérennité de notre couple, comme des liaisons durables. D’ailleurs, quand nous avons, par la suite, violé cette règle (voir récit n°17), lors de vacances avec N., puis Philippe avec Théodora, notre couple a connu sa crise la plus grave depuis notre remariage, et il reste fragilisé, même si nous avons trouvé un compromis.

Il était entendu que c’était désormais Philippe qui était l’organisateur de mes plaisirs et choisissait mes amants, les lieux, les circonstances où je pourrai donner libre cours à mon hypersexualité. Cela supposait qu’il puisse assister et, souvent, participer activement. J’avais de toute façon toujours eu plus de plaisir en sa présence que sans, parce que je ressens son immense bonheur quand il me voit jouir. Les regards que nous échangeons, les baisers, les caresses, la main qu’il me tient pendant qu’un autre homme me besogne, tout cela est exceptionnel.
Philippe est toujours le même, toujours aussi amoureux et tendre. En même temps, il a changé. Pas uniquement en tant qu’amant, plus endurant, plus performant qu’auparavant. Il a aussi compris que j’avais besoin à mes côtés d’un mâle, et depuis que nous sommes à nouveau ensemble, il se comporte ainsi, en témoigne le vocabulaire qu’il emploie désormais lors de nos étreintes. Auparavant, jamais il ne m’aurait parlé ainsi. Désormais, il me traitait de salope, de chienne, de pute, de cochonne. Il avait compris que j’aimais ça et que le meilleur moyen de consolider notre couple était de combiner son immense tendresse envers moi, mais aussi les moments où il s’affirmait comme mon mâle, sans qu’il soit cette fois besoin d’avoir recours à un autre.
Evidemment, les moments où nous pouvions pleinement laisser libre cours à notre nature étaient plus rares que sous la période précédente.
Nous ne faisions plus ce genre de choses chez nous, d’autant que les filles commençaient à grandir. Heureusement, Philippe assumait parfaitement ses devoirs conjugaux et nous avions repris toutes nos pratiques sexuelles, depuis la fellation du matin, en passant par la cravache ou le fist-fucking.
Je n’en appréciais pas moins les efforts de Philippe pour satisfaire mon besoin d’autres étreintes, qui correspond parfaitement au plaisir qu’il a de me voir baiser par un ou plusieurs amants. Pour les partouzes, Philippe veille à ce qu’elles ne se déroulent pas dans la région où nous vivons désormais. Nous avons retenu la leçon du passé : pas question de tomber sur une connaissance et de remettre à nouveau en cause notre réputation.
Je raconterai ultérieurement certains de ces moments, qui n’ont rien à envier, pour le plaisir que nous en avons tiré, avec ce que nous avions connu sous Rachid. Ils étaient simplement moins fréquents, mais je n’en suis pas moins infiniment reconnaissante à Philippe pour ce qu’il fait afin que mon bonheur soit complet.

Philippe me proposa donc ce qu’il appela notre « nouveau pacte candauliste ». Il avait couché tout ça sur un papier, qu’il me proposa de signer et de mettre dans notre coffre. C’était en quelque sorte un « contrat de mariage » très spécial, qu’aucun notaire n’aurait accepté d’enregistrer, mais qui était désormais le ciment de notre couple.

Il s’agit des règles qui doivent nous permettre de vivre mon hypersexualité et son candaulisme, sans que cela ne menace la pérennité de notre couple, ne remette en cause notre réputation et la carrière de Philippe et, surtout, une priorité absolue : préserver nos s. Je l’ai signé avec enthousiasme. Il reposait sur les neuf principes suivants :

• Principe n°1 : Philippe reconnait l’hypersexualité d’Olga et l’encourage à l’assumer pleinement en trouvant le plaisir avec d’autres partenaires, hommes et femmes. Dans ce contexte, Olga est dispensée de toute obligation de fidélité.
Philippe reconnait à Olga la plus totale liberté sexuelle et son droit absolu au plaisir.

• Principe n°2 : Consciente du candaulisme de Philippe, Olga s’engage à toujours lui permettre d’assister à ses ébats et d’y participer s’il le souhaite. Olga s’interdit toute relation hors de ce cadre candauliste, sauf autorisation de Philippe.

• Principe n°3 : les deux conjoints reconnaissent leur bisexualité et l’encouragent.

• Principe n°4 : Olga et Philippe s’engagent à la plus totale transparence vis-à-vis de leurs relations extra-conjugales. Il ne saurait donc y avoir d’adultères dans leur couple. Olga exprime ses plus grandes réserves sur d’éventuelles relations extra-conjugales de Philippe.

• Principe n°5 : Seul Philippe peut désormais faire un à Olga. Avec ses amants, celle-ci fera usage du préservatif, sauf accord de Philippe. C’est avec l’accord de celui-ci qu’Olga pourra permettre à son amant de jouir en elle. Elle devra avoir préalablement pris les précautions pour éviter de tomber enceinte d’un autre homme que Philippe.

• Principe n°6 : Philippe organisera le candaulisme du couple pour favoriser l’hypersexualité, sans qu’il soit besoin de faire appel à une tierce personne et sans qu’un amant d’Olga ne s’installe au foyer pour organiser les plaisirs du couple et être le mâle d’Olga.

• Principe n°7 : Philippe est le mari et le mâle d’Olga. Son objectif est que celle-ci puisse avoir le maximum de plaisir. Il est donc l’organisateur des plaisirs d’Olga, il dispose de son corps et veille à trouver des amants qui la satisferont.

• Principe n°8 : Olga portera des tenues sexy, soigneusement choisies par Philippe. Olga mettra en valeur notamment sa poitrine, ses jambes et son cul. Elle apparaîtra pour ce qu’elle est : une femme mariée, qui porte fièrement son alliance, mais qui est aussi une libertine assumée, prête à des relations extra-conjugales avec l’accord et en présence de son mari.


• Principe n°9 : Olga et Philippe sont fiers qu’Olga soit une « salope intégrale ». Le choix de de ses dessous se fera pour montrer sa disponibilité permanente, quand Philippe aura décidé d’offrir son épouse.

• Principe n°10 : « Le blog de Philippe et Olga » sera définitivement fermé. Pour préserver la réputation du couple, rien ne se passera au nouveau domicile. Les vacances et les week-ends, hors de la présence des s, seront les moments privilégiés des plaisirs sans freins du couple.

• Principe n°11: Olga et Philippe s’interdisent également de faire participer à leurs ébats des connaissances, des collègues de travail, des personnes vivant dans un large périmètre de notre agglomération.

Cette « charte de l’immoralité » choquera sans doute. Elle constituait cependant un cadre, un progrès, par rapport aux excès que nous avions connus et qui avaient eu de nombreuses conséquences et qui avaient bien failli détruire notre couple.

Quelques remarques sur le contenu du Pacte.

Il n’est pas équilibré en ce qui concerne les droits et obligations de chacun, en apparence au détriment de Philippe. J’ai obtenu, au principe n°2, qu’il puisse y avoir des circonstances où je puisse être seule avec un amant, ne serait-ce que parce que celui-ci ne souhaiterait pas la présence du mari.

Le principe n°4 indique que je n’accorde pas sa liberté sexuelle à Philippe. Il n’y a pas « réciprocité » dans notre couple. Philippe sait que je supporte très mal qu’une autre femme l’approche. Je considère ces femmes comme des ennemies. Pour moi, ça ne se discute pas : Philippe est à moi et rien qu’à moi. Tout au plus, je peux prendre l’initiative de le mettre à disposition d’une autre femme, comme je l’ai fait pour Agun afin d’initier mon amante, que je voulais voir sous le joug d’un mâle. Mais je n’ai supporté ni Marie C, ni Flavienne et pas davantage ces petites putes d’Ambre (dont je parlerai ultérieurement) et de Théodora.

Il est vrai que ni Philippe, ni moi n’avons vraiment respecté le principe n°4 ! Pas plus que je n’ai respecté le principe n°5, qui est d’ailleurs contraire à la liberté sexuelle absolue qui m’est reconnue par ailleurs. Et aussi parce que pour moi le plaisir n’est complet que si mon amant peut se vider en moi.

Nous avons globalement respecté depuis 5 ans ce Pacte candauliste, en particulier parce que nous n’avons plus recours à un troisième partenaire, comme du temps de Rachid.

Nous veillons aussi particulièrement à notre réputation (Principes 10 et 11). La contrepartie logique était de limiter notre liberté et l’exercice sans freins de nos fantasmes à des moments privilégiés mais trop rares à notre goût.

Je retrouvais néanmoins une certaine frustration que j’avais connue avant la rencontre avec Rachid en 2007 et ce malgré les progrès remarquables qu’avait réalisés Philippe dans l’accomplissement de son devoir conjugal, sans parler des pratiques extrêmes que nous affectionnons. J’avais autant besoin que Philippe me fiste jusqu’au poignet et me cravache que lui avait besoin que je l’encule avec mon gode ceinture.

Heureusement, il y avait aussi (et il y a toujours) près de moi Agun, que j’avais rencontrée dans un salon de massage (récit n°6) et qui, logée dans un petit appartement de notre immeuble, était devenue mon amante attitrée, ma femme, sachant calmer le feu qui me dévorait. Sans elle, je n’aurais pas tenu et je serai allée m’offrir, comme une putain au premier venu pour être baisée sans autre forme de procès.
Il faut dire aussi que Philippe appliquait à la lettre le principe n°8 au sujet de mes tenues : il continuait à insister pour que je porte des vêtements plus que sexy, indécents est le vrai terme, qui faisaient que, dans notre nouvelle ville, j’avais vite gagné la réputation d’exhibitionniste et d’allumeuse, je fais toujours scandale par mes tenues.
Philippe avait posé ces principes qui étaient autant de garde-fous indispensables, mais il savait aussi ménager des exceptions.

Le premier qu’il m’accorda fut lors de notre (nouveau) mariage, exception au Pacte candauliste puisque les choses se passèrent chez nous, dans la chambre conjugale.
J’ai été mariée trois fois : la première fois avec Philippe en 2003, la seconde fois avec Hassan en 2011 et la troisième fois avec Philippe en 2014.
J’ai été à chaque fois adultère le soir même de mes noces. En 2003, Philippe avait tout fait pour parvenir à ce résultat et m’avait poussée dans les bras de son témoin, son ami Pierre (voir récit n°5)
La seconde fois, alors que je venais d’épouser Hassan, je m’étais offerte à Philippe, mon ex-mari (récit n°34)

La troisième fois fût une séance candauliste, que j’avais organisée autant pour moi que pour Philippe : ce fût notre cadeau de mariage !

LA SEANCE D’ESSAYAGE

Philippe tenait à ce remariage. Le divorce d’avec Hassan avait été compliqué, mais nous avions fini par nous mettre d’accord. Je ne jette surtout pas la pierre à Hassan, à qui j’ai fait beaucoup de mal. A cause de moi, il a rompu avec sa communauté, où certains le considèrent comme un apostat et un débauché pour s’être uni avec une « prostituée », comme ils m’appellent. Hassan avait d’ailleurs tout assumé, en particulier ses responsabilités de père envers la fille qui était née de notre brève union, Leila.
Philippe tenait donc à cette cérémonie, plus de dix ans après notre premier mariage, en 2003 (voir récit n°5). Entre temps, j’avais donné naissance à mon troisième , une fille, Sofia, conçue cette fois par Philippe, qui était fou de joie.

J’ai fini par céder, il tenait à ce que je redevienne Mme Olga T (nom dont j’avais conservé l’usage après mon divorce d’avec Philippe).

Nous avions déménagé dans une autre ville, Philippe avait changé de travail, avait perdu dans nos dérives beaucoup d’amis. Beaucoup de membres de sa famille ne voulaient plus entendre parler de la «putain », furieux que Philippe fût revenu vers moi.

Nous avons eu une longue discussion au sujet de ma tenue. A nouveau, Philippe tenait à ce que je porte une longue robe, à ce que je sois en blanc.

• Chéri, tu exagères. D’abord c’est mon troisième mariage. Ensuite j’ai 36 ans et surtout le blanc. Je ne suis pas vraiment une vierge, tu ne crois pas ?

• Si tu ne montres pas tes papiers, personne ne te donnerait cet âge. Tu n’as pas changé depuis que je t’ai rencontré, il y a presque 15 ans. Au contraire, je dirai que tu es encore plus belle, plus désirable. Je pense que le plaisir, les maternités ont fait de toi cette Aphrodite qui fait bander tous les mâles.

• D’accord, mais tu me laisses organiser la nuit de noces. Il faut que tu acceptes deux dérogations à notre pacte candauliste : ça se passera chez nous, dans le lit conjugal. Deuxième dérogation : c’est moi qui organise, pas toi. Tu es d’accord ?

• C’est ta nuit de noces. Et puis il y a longtemps que je ne t’ai pas matée en train de te faire baiser dans le lit conjugal. Ca me manque !

Nous fîmes donc le tour des boutiques. J’étais bien décidée à ce qu’il ne me refasse pas le coup de 2003, où la robe choisie était absolument indécente. Je voulais une robe vaporeuse et impressionnante, mais dans le style classique. Philippe, lui, voulait une fois encore une mariée sensuelle. Je comprenais que ce mariage était son triomphe, la démonstration aux yeux de tous que notre couple avait résisté à toutes les tempêtes et qu’en définitive, c’est le mari candauliste, souvent humilié, méprisé, jugé peu performant, qui avait eu la préférence et avait reconquis de haute lutte la belle Olga.

Philippe voulait une robe de mariée transparente, un must pour une mariée sensuelle et romantique. Je finis par accepter un compromis : une robe de mariée hot, avec des coupes et des décolletés audacieux, à l’avant comme à l’arrière. En essayant cette merveille, je voyais mon corps dans la glace. Et je devais reconnaitre que j’avais conservé des formes parfaites, malgré les plaisirs effrénés et les maternités : brune, avec mes longs cheveux tombant sur les épaules, mes grands yeux noirs, ma taille (1m70), mes petits seins et de superbes jambes conduisant vers une croupe vertigineuse et cambrée, avec une belle paire de fesses tendues naturellement, comme une invitation agressive au mâle. J’étais excitée, ma chatte était humide, mes tétons étaient durs. J’ai eu une envie irrésistible de me masturber, en pensant à des mâles vigoureux qui viendraient me baiser devant Philippe.

Je commençais par la poitrine, quelques effleurements, mais elle réagit bien mieux aux lèvres d’un amant cueillant la pointe de mes seins. Je descendais plus bas, mes effleurements attisant quelques doux frissons. Mes tétons se dressent, j’ai la chair de poule. J’aime alors écarter largement mes cuisses et mes fesses, sans encore me toucher mais pour sentir l’air s’engouffrer vers mes puits de plaisir.

Lorsque mes doigts rencontrent mon intimité, je suis déjà humide et accueillante. Je sens en moi la place faite au désir par le besoin d’un sexe. Je sais que mes doigts ne me combleront pas, mais ils jouent avec mon clitoris qui s’épaissit, durcit, bande. Déjà, je coule un peu le long de mes doigts, je sens quelques secousses. Ma main passe entre mes jambes, remonte vers mon anus. Cela m’oblige à me cambrer encore plus, à me soumettre à mes vices, seule, en attisant moi-même un manque et une attente que seule une bite endurante pourrait vraiment combler.

Après tout va très vite, mes doigts reviennent entre mes lèvres pour branler mon clitoris, aider par la mouille qui recouvre cette zone si sensible et chaude. En peu de temps, malgré l’absence de cet amant derrière moi, un orgasme me saisit, petit mais prémices d’une longue série. Je pousse un cri, sans me soucier de l’endroit où je me trouvais.

Je pose alors trois doigts sur mon bouton. Ils sont mouillés avec ma salive. Ils restent liés jusqu'à un nouvel orgasme qui ne tardera pas. Je caresse tout doucement, sans appuyer au début, je poursuis plus vite en accentuant ma pression. Je sens mon ventre se crisper.
Je presse mes mouvements et enfin j'ai une bonne jouissance. Pour ne pas perdre ma jouissance, je pose mes deux mains sur le vagin. Il me semble que je jouis plus longtemps ainsi.

Philippe avait tenu à m’accompagner pour choisir avec moi. Il a compris tout de suite ce que j’étais en train de faire. Il est entré sans faire de bruit dans la cabine et n’a rien perdu d’un spectacle qu’il adore, celui où je me laisse aller au plaisir solitaire.
Philippe s’est débarrassé de son pantalon et de son slip, il s’approcha de moi. Il bandait comme je l’avais rarement vu.

• Chéri, tu es fou, pas ici quand même !

• Une salope comme toi, ça se baise partout. C’était si beau quand tu étais en train de te branler, ma chérie. La fille va t’entendre crier de plaisir. Dommage qu’il n’y a pas d’autre mâle dans le magasin, je lui aurais demandé de venir m’aider.

• Tu me suffis mon amour. Viens me prendre, j’ai envie ! Assied toi sur cette chaise, je viens sur toi, tu vas me la mettre bien profond !

Nue, je le chevauchais, empalée sur son sexe, me démenant sur ce pal, le laissant me combler bien à fond. Je remuais le ventre pour frotter mon petit bouton contre son ventre, mes mèches dansant dans mon cou, mes seins se balançant au rythme de notre danse frénétique. Philippe empoignait mes fesses à pleines mains, je roucoulais :

• Hum.. ma chérie … tu aimes ?

• Oui …. j’aime …

• Tu aimes la bite ?

• Oui, j’aime ta bite …

• Tu aimes te faire enfiler … tu aimes sentir des centimètres de bite partout en toi …

• Oh oui …. c’est trop bon …. encore …

Je gémissais. Puis, sa main remonta le long de mon corps pour caresser ma nuque, tourner vers l’avant et effleurer mes lèvres :

• Je suis sûr que tu aimerais avoir des centimètres de bite en même temps dans la bouche …

À ces mots je happais goulûment son doigt et le suçais avec frénésie, redoublant d’excitation.

• Tu vois, tu aimes ça.. tu es une salope …

• Oui, je suis une salope …. J’adore me faire ramoner, tu le sais bien mon Philippe … hummm … j’adorerais me faire ramoner maintenant par deux queues …

• Dis-moi, ma salope adorée … tu penses à quoi là …? quelles images traversent ton esprit en ce moment …?


D’une voix gémissante, secouée par les ondes de plaisir qui m’inondait, j’avouais alors :

• Je vois des queues, plein de queues, de grosses queues dures autour de moi … plein de mecs qui me bourrent tous les trous et qui déchargent … hummm .. plein de sperme qui ruisselle sur moi … j’aime ça … je suis une salope juste bonne à être enfilée … hummm

Dans un ultime râle, Philippe jouissait également, m’envoyant de longues et chaudes giclées dans la chatte. Je me laissais tomber sur son torse et nous nous sommes embrassés tendrement et amoureusement.

En sortant, le sperme coulait le long de mes jambes. La vendeuse était à proximité immédiate de la cabine, je compris, à son visage marqué par le plaisir, à son chemisier mal boutonné qu’elle s’était caressée aussi en écoutant ce qui se passait dans cette cabine. Elle ne s’est d’ailleurs pas privée, lors de la séance d’essayage suivante, de me gouiner avec une certaine science des caresses entre femmes.

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